Objectif 40 000 kits

29 992 kits financés

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  • Info exclusive : Attac révèle que BNP Paribas va fermer ses filiales aux îles Caïmans

    À la veille de l’audition de Jacques d’Estais, directeur général adjoint de BNP Paribas par la commission des Finances du Sénat au sujet des Panama Papers, Attac dévoile ce mardi 24 mai le compte-rendu de la réunion de la commission financière du Comité central d’entreprise (CCE) de BNP Paribas qui s’est tenue le 3 mai dernier dans lequel les responsables de la banque annoncent leur intention de fermer leurs « dernières branches encore actives dans les Îles Caïmans ».

    Dans son rapport financier 2015, BNP Paribas déclarait posséder 6 filiales aux Îles Caïmans pour un produit net bancaire de 39 millions d’euros et un résultat net de 134 millions d’euros sans aucun salarié sur place.

    Pour Dominique Plihon, porte-parole d’Attac, « le retrait des îles Caïmans de BNP Paribas, champion français de l’évasion fiscale, est une victoire importante car ce paradis fiscal est le no1 mondial en matière de dépôts par des non résidents, soit 1 310 milliards de dollars déposés dans les institutions financières locales selon les données de la Banque des règlements internationaux (BRI) ».

    Cette victoire est le résultat de plusieurs mois de mobilisation intense d’Attac et de ses partenaires notamment les « faucheuses et faucheurs de chaises » qui ont ciblé la BNP Paribas avec des actions de réquisitions citoyennes sur tout le territoire tout au long de l’année 2015.

    « Après cette première victoire, nous appelons à poursuivre et amplifier les actions visant les agences des principales banques impliquées dans les paradis fiscaux » affirme Thomas Coutrot, porte-parole d’Attac, « elles doivent non seulement y fermer leurs filiales mais également y stopper toute activité, directe ou indirecte ».

    Les îles Caïmans sont bien plus qu’un symbole de l’évasion fiscale et cette annonce doit en amener d’autres. Dans l’immédiat, Attac va poursuivre sa mobilisation pour que toutes les banques française encore présentes aux îles Caïmans annoncent à leur tour la fermeture de leurs filiales et la cessation de leurs activités dans ce paradis fiscal et judiciaire.

  • Aidez-nous à traquer BNP Paribas, Total et Vinci

    Pour y arriver, nous avons besoin de vous !

    Cette année, nous avons innové en produisant trois kits différents, un par requin ciblé. Dès 5€*, vous pouvez contribuer au financement des kits 2016. Notre objectif : en produire 40 000 contenant 160 000 autocollants, que nous pourrons diffuser largement et expédier gratuitement à toutes celles et ceux qui souhaitent agir partout en France.

    Je fais un don de 5€, 10€, 50€, 100€* ou plus pour financer les kits 2016

    Je commande gratuitement des kits 2016

    BNP Paribas, la banque d’un monde qui triche

    En 2016, nous allons poursuivre nos actions contre BNP Paribas jusqu’à ce que la banque annonce la fermeture des ses filiales aux îles Caïmans. Nous compterons en particulier sur les actions des faucheurs de chaises qui vont s’amplifier cette année.

    Total, pas de permis, ni ici, ni ailleurs

    Les collectifs anti-gaz de schiste ont arraché en 2011 l’adoption d’une loi qui a interdit l’utilisation de la «  fracturation hydraulique  » pour l’exploration et l’exploitation du gaz de schiste en France. D’où l’abrogation du permis d’exploration de Montélimar détenu par Total. Mais la multinationale a attaqué cette décision et a obtenu gain de cause en janvier 2016. Nous allons appuyer la mobilisation des collectifs anti-gaz de schiste pour stopper Total et obtenir une interdiction définitive de l’exploitation du gaz de schiste en France. Un rassemblement est prévu à Barjac le 28 février prochain.

    Vinci, ni béton, ni avions

    Vinci est le potentiel constructeur et concessionnaire de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes (NDDL), un projet vieux de 40 ans, symbole de l’absurdité écologique et de la connivence entre pouvoir politique et multinationales. C’est donc une cible toute désignée en 2016 pour contribuer, avec l’ensemble des opposants, à l’arrêt définitif de ce projet. Prochaine échéance : la mobilisation prévue samedi 27 février à Notre-Dame-des-Landes.

    Sortir du fatalisme, montrer qu’on peut faire plier les puissants, l’enjeu est majeur pour redonner de l’espoir et du pouvoir d’agir aux citoyen⋅ne⋅s.

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    Suivez l’actualité de la campagne sur Facebook.

    * Compte tenu des dispositions fiscales, pour les personnes imposées sur le revenu, le coût effectif de vos dons est de 34 % des versements effectués, soit 34 € pour un don de 100 €

  • Rétrospective de la campagne des faucheurs de chaise 2015

    Janvier 2015

    Lancement d’un site web de soutien à Antoine Deltour, lanceur d’alerte contre l’évasion fiscale.

    Février 2015

    • 18 février 2015 : la police effectue une perquisition au local de Bizi ! à Bayonne. Elle y retrouve 3 des 8 sièges saisis, mais 5 chaises courent toujours !
    • Des militant⋅e⋅s bruxellois⋅es se rendent dans une banque de BNP Paribas Fortis et repartent avec des meubles. Vidéo de l’action.

    Mars 2015

    Avril 2015

    Mai 2015

    Juin 2015

    Juillet 2015

    Fauchage de chaises : les moissons du futur : Attac s’apprête à lancer en septembre une grande campagne de réquisition citoyenne.

    Le fabuleux destins des chaises :

    Août 2015

    L’évasion fiscale et la formation à la réquisition de chaises sont au programme de l’université d’été d’Attac organisé à Marseille. L’objectif est de former des militants à la désobéissance civile et de multiplier ces actions partout en France.

    Septembre 2015

    Octobre 2015

    Novembre 2015

    Décembre 2015

    Vidéos du sommet :

    Photos disponible ici.

    Les banques n’ont pas fermés leurs paradis fiscaux, mais nous ne baisserons pas les bras. Notre détermination reste intacte et nous sommes bien décidés à mettre un terme au système organisé de l’évasion fiscale ! Les réquisitions se poursuivent partout en France et de nouvelles formes d’actions sont à venir. L’année 2016 va être bouillante !

  • Gaz de schiste en Algérie : le requin Total se retire sur la pointe des pieds ?

    C’est dans cette zone d’Ahnet que des forages d’exploration ont été effectué fin 2014 sans aucune consultation de la population locale donnant lieu à une forte contestation depuis le début de l’année 2015. Débuté dans la ville d’In Salah, le mouvement s’est très largement renforcé et s’est propagé dans tout le pays, forçant le pouvoir à reculer. Le 21 janvier dernier, après avoir vérifié les informations publiées sur le site de Total, bous rejoignions les soutiens à cette mobilisation. Dans le cadre de la seconde édition du « kit anti requins » nous exigions du Total « le retrait du projet d’extraction de gaz de schiste d’Ahnet en Algérie ». Coïncidence ou pas, on ne peut que se réjoui de l’annonce de Total tout en n’étant pas dupe car les déclarations contradictoires se sont succédées depuis.

    Le 5 février, l’ambassadeur de France en Algérie, Bernard Emié, déclarait « la France est prête à exploiter les gisements de gaz de schiste en Algérie après que Sonatrach ait lancé un appel d’offres international [1] » en ajoutant « “Total” sera la seule compagnie française à présenter un dossier pour exploiter le gaz de schiste ». Le 9 février, le président de la Sonatrach, Said Sahnoun, aurait mieux fait de consulter le site de Total avant d’indiquer « Total n’a jamais été impliqué dans l’exploration du gaz de schiste en Algérie » [2] ! Quel crédit accorder à ces déclarations alors qu’une véritable omerta est entretenue par le pouvoir algérien et les multinationales impliquées dans l’exploration et l’exploitation du gaz de schiste ?

    En tout cas, ces déclarations ne nous suffisent pas. Nous allons maintenir la pression sur Total pour que la multinationale s’engage à ne pas s’impliquer dans toute exploration ni exploitation de gaz de schiste en Algérie, ni aujourd’hui, ni demain.

  • Soutien des collectifs français anti-schiste aux citoyens d’In Salah

    Dans un communiqué commun, les « Collectifs non aux pétrole et gaz de schiste et de houille » apportent leur soutien aux habitants d’In Salah qui se mobilisent contre les forages d’exploration débutés sans consultation de la population fin 2014.

    Ils "condamnent vivement [Les] violences exercées à l’encontre de la population d’In Salah qui a cherché légitimement et pacifiquement à se préserver des conséquences sanitaires et environnementales de telles expérimentations et refusent qu’en Algérie et ailleurs, les gouvernements soutiennent les compagnies pétrolières et gazières nationalesou internationales, publiques ou privées, pour imposer leurs choix au détriment de l’intérêt des populations et détruire leurs territoires.

    Voir l’intégralité du communiqué

  • A lire : l’enquête de Reporterre sur Sofiprotéol-Avril

    Deux journaliste du site d’information Reporterre, Barnabé Binctin et Laure Chanon ont réalisé une enquête approfondie sur la « pieuvre » Sofiprotéol-Avril, le géant méconnu de l’agro-industrie française que nous ciblons pour son implication dans les projet d’usines des 23 000 porcelets des Sables-d’Olonne (Vendée) et de Trébrivan (Côtes-d’Armor).

    Le sommaire du dossier :

    1. Le maître caché de l’industrialisation de l’agriculture française
    2. Au coeur de l’agro-industrie française, les tentacules d’Avril Sofiproteol
    3. L’incroyable rente des agrocarburants
    4. Comment les agrocarburants ont conduit aux fermes-usines
    5. Xavier Beulin, l’homme aux mille bras

    Retrouvez l’intégralité des articles sur le site de Reporterre

  • Algérie : Total doit clarifier sa position sur l’utilisation de la fracturation hydraulique

    À la veille de la journée d’action nationale contre les Requins 2015, Basta ! et l’Observatoire des multinationales rendent public un rapport visant à éclairer les ressorts de cette résistance citoyenne. Il interroge le rôle de Total et celui des États algériens et français dans les projets d’exploration et d’exploitation du gaz de schiste en Algérie. Alors que Total disposait de 49% du permis d’exploration et d’exploitation de gaz de schiste d’Ahnet, la multinationale française a subitement changé de position fin janvier pour dorénavant affirmer qu’elle s’est retirée du projet. Pour quelles raisons ?

    Le rapport montre l’opacité avec laquelle Total communique sur le sujet. Si elle affirme ne pas explorer ou produire de gaz de schiste en Algérie, elle ne dit rien du « tight gas », un autre gaz non conventionnel, piégé dans des roches très compactes, dont l’exploitation nécessite aussi de recourir à la fracturation hydraulique. L’entreprise est impliquée sur une concession de tight gas à l’Ouest de l’Algérie, à Timimoun (37,5 % des parts pour Total, 51 % pour Sonatrach et 11,25 % pour Cepsa, une compagnie espagnole) avec une mise en production fixée en 2017. Si la filiale de Total en Algérie reconnaît son implication, elle refuse de répondre lorsque le recours à la fracturation hydraulique est évoqué.

    Pour que le Sahara ne devienne pas le terrain de jeu des expérimentations de la multinationale française et pour soutenir les jalons d’une pensée écologique en Algérie contre la répression des autorités, nous exigeons de Total qu’elle s’engage clairement à ne pas utiliser la fracturation hydraulique et ne pas exploiter de gaz qui nécessite l’utilisation de cette technique en Algérie.

    Pour aller plus loin

  • Évasion fiscale : réquisition citoyenne à l’agence BNP Paribas de Paris Voltaire

    Porteur d’un avis de réquisition citoyenne « pour cause d’évasion fiscale », il était accompagné par 25 militant⋅e⋅s d’Attac qui ont procédé à la réquisition de fauteuils de l’agence bancaire pour les installer au siège de l’association. Avant de quitter la banque avec le mobilier saisi, les militant⋅e⋅s ont remis au responsable de la banque un exemplaire du Livre noir des banques que viennent de publier Attac et Basta !

    « Depuis plus d’un an, Attac France demande à BNP Paribas de fermer ses filiales aux Îles Caïmans, véritable trou noir de l’économie mondiale où l’impôt sur le revenu, les droits de succession et l’impôt sur les sociétés sont inexistants » a déclaré Thomas Coutrot, porte-parole d’Attac France.

    Avec 170 filiales, BNP Paribas est la banque française la mieux implantée dans les paradis fiscaux. Elle reconnaît détenir 6 filiales dans les Îles Caïmans et réaliser 26 millions d’euros de chiffre d’affaires sans aucun salarié sur place, ce qui tend à indiquer que celles-ci jouent un rôle de sociétés écran. « Cette situation n’est pas tolérable, alors que l’évasion fiscale en France coûte chaque année de 60 à 80 milliards d’euros à l’État Français » a ajouté Thomas Coutrot.

    Ces fauteuils permettront à Attac France de bénéficier d’une meilleure assise dans sa lutte contre l’évasion fiscale et le pouvoir des banques. Attac France s’engage à rendre le matériel réquisitionné dès lors que BNP Paribas se sera engagée à se retirer définitivement des Îles Caïmans.

  • Action « zone d’évasion fiscale » devant l’agence centrale de BNP Paribas

    Après avoir mené une réquisition citoyenne à l’agence BNP Paribas de Paris Voltaire, les militant.e.s d’Attac se sont retrouvés, samedi 7 mars 2015 à 15h, devant l’agence centrale de BNP Paribas, boulevard des Italiens à Paris. Ils ont délimité une « zone d’évasion fiscale » pour dénoncer les 170 filiales que BNP Paribas détient dans les paradis fiscaux alors que la fraude et l’évasion fiscale coûtent chaque année de 60 à 80 milliards d’euros à l’État Français.

    La banque détient notamment 6 filiales dans les Îles Caïmans, y réalise 26 millions d’euros de chiffre d’affaires sans aucun salarié sur place.

    Photos : Jean-Claude Saget.

  • Non à l’usine des 23 000 porcelets : manifestation le 4 avril aux Sables d’Olonne

    Alerte !

    Les travaux de terrassement ont débuté début mars 2015 sur le site de l’usine des 23 000 porcelets de Poiroux !

    Rendez-vous à 14h30 sur le remblai, place de Strasbourg, pour obtenir la suspension de ces travaux dans l’attente de la décision du tribunal administratif.

    Venez défendre le littoral du Pays des Olones et du Talmondais !

    Manifestation organisé par le collectif « Non à l’usine à cochons de Poiroux ».

    Pour en savoir plus : http://www.porcherie-poiroux.fr/

  • Revue de presse et d’images de la manif contre les usines à cochons aux Sables d’Olonne

    Samedi 4 avril 2015, 1500 personnes ont manifesté aux Sables d’Olonne dans une ambiance conviviale, créative et déterminée.

    Manifestation le 4 avril 2015 aux Sables d’Olonne

    France 3 : Les Sables d’Olonne : un millier de manifestants contre un projet de porcherie industrielle

    L’obs : Vendée : manifestation contre un projet de porcherie industrielle

    Citizenside : Sables-d’Olonne : Manifestation contre la construction d’une porcherie à Poiroux

    Le Figaro : Vendée : 1500 manifestants contre une porcherie

    Le Journal des Sables : http://www.lejournaldessables.fr/2015/04/04/usine-a-cochons-700-manifestants-aux-sables-dolonne/

    RCF : Projet de maternité Porcine au Poiroux
    Déabt radio entre Franck Perrocheau président de la filière porcine de la FDSEA et HUbert Piveteau porte parole de la confédération paysanne de vendée et opposant du projet.

    Reportage photos : http://emmanuel-brossier.com/les-sables-dolonne-1000-manifestants-contre-la-porcherie-de-poiroux/

  • Total dégrade la planète et le climat... nous, on dégrade Total, la preuve en images !

    Total, quatrième géant pétrolier et gazier mondial et champion toutes catégories de la pollution et de l’évasion fiscale en France, fait parti de nos trois requins 2015 pour son implication dans les projets de Gaz de Schiste en Algérie.

    Pour mettre la pression sur Total en montrant son vrai visage, des actions de collages d’autocollants ont été menées les 30 et 31 mai sur les pompes à essence Total, Total Access et Elan partout en France.

    Au regard de la loi, coller ces autocollants constitue une « dégradation volontaire du bien d’autrui causant un dommage léger ». Nous sommes prêts à assumer les conséquences juridiques et financières de ces actions. Elles sont sans commune mesure avec les dégradations que Total inflige au climat et à la planète depuis des dizaines d’années.

    Première liste des villes ou des actions ont été menées : Alès, Anould, Arpajon, Bagnolet, Bobigny, Bordeaux, Brest, Cergy, Charleville-Mézières, Communay, Drancy, Feyzin, Fontenay sur Loing, Fraize, Génicourt, Gérardmer, Gironde-sur-Dropt, Herblay, Héricourt, Le Touvet, Montreuil, Nantes, Narbonne, Pantin, Paris, Rennes, Saint Vallier, Sainte Foy les Lyon, Saulcy sur Meurthe, Sedan, Yerres...

    La preuve ci-dessous en images !

  • Venez soutenir Thomas Coutrot, faucheur de chaises HSBC et BNP, convoqué au commissariat de Paris 11e

    Rappel des faits

    La fraude et l’évasion fiscale coûtent chaque année de 60 à 80 milliards d’euros à l’État Français. Malgré les scandales (Cahuzac, Luxleaks, Swissleaks...) et les effets d’annonce, ce montant n’a diminué qu’à la marge. Les grandes banques françaises et internationales, qui jouent un rôle clé dans l’industrie de l’évasion fiscale, n’ont toujours pas changé leurs pratiques.

    Le jeudi 12 février 2015, suites aux révélations dites « SwissLeaks », des militant.e.s de Bizi ! ont saisi 7 chaises dans l’agence HSBC de Bayonne pour exiger le remboursement de 2,5 milliards d’euros que la banque doit au fisc français.
    Le 7 mars, Attac menait une action similaire en réquisitionnant 5 chaises dans l’agence BNP Paribas de Paris Voltaire pour exiger la fermeture des 7 filiales de la banque aux îles Caïmans.

    Après les Amis de la Terre et Solidaires Finances Publiques, après Edgar Morin, Patrick Viveret, Susan George, Alain Caillé et Claude Alphandery, des centaines de personnes se sont déjà déclarées complices en se faisant photographier assis sur les chaises HSBC et BNP Paribas.

    Le 19 mai 2015, date limite de la déclaration d’impôts 2015 au format papier, des militant.e.s d’Attac se sont rendus au centre des finances publiques de Saint Sulpice à Paris pour remettre en main propre une chaise BNP Paribas et une HSBC à des agents des finances publiques.

    Un nouvel épisode attend aujourd’hui les chaises

    Alors que BNP Paribas détient toujours 7 filiales dans les Îles Caïmans où ses clients bénéficient d’un taux d’imposition, et de droits de successions égaux à zéros, le faucheur de chaise Thomas Coutrot, porte-parole d’Attac France, est convoqué au commissariat de Police du onzième arrondissement de Paris.

    Afin de montrer que la justice se saisit de la mauvaise cible, nous vous invitons à venir soutenir Thomas le 10 juin 2015 à 8h30 devant l’agence BNP Paribas située au 177 Avenue Ledru Rollin, 75011 Paris (métro Voltaire). Nous nous rendrons à pieds jusqu’au commissariat situé à 250 mètres de l’agence.

    Tant que HSBC n’aura pas remboursé et que BNP Paribas n’aura pas fermé ses filiales aux îles Caïmans, nous utiliserons ces chaises pour mieux dénoncer ces banques qui dépouillent l’État français, empêchent la transition et imposent les politiques d’austérité aux populations.

  • Le fabuleux destin des chaises BNP et HSBC

     

  • Les faucheurs de chaises en vidéo

    Faucheurs de chaises from Attac France on Vimeo.

    Retraçons ensemble le Fabuleux Destin des Chaises

    C’est une petite histoire qui commence le 12 février 2015 et qui a connu de nombreux rebondissements. Nous souhaitions la raconter simplement à tous celles et ceux qui la découvrent ou qui la connaissent déjà un peu.

    L’évasion fiscale coûte de 60 à 80 milliards d’euros par an au budget de la France. Plutôt que de diligenter la police et la justice contre les militant.e.s, les pouvoirs publics feraient mieux de mettre un terme à cette situation intolérable. L’argent de la transition écologique et sociale existe, il est dans les paradis fiscaux !

    Retrouvez la campagne Requins : lesrequins.org

    Inscrivez-vous à la formation à la réquisition citoyenne de chaises pendant l’Université d’été 2015 d’Attac : https://universite.attac.org/2015/programme/article/formation-a-la-requisition-citoyenne-de-chaises

  • Formation à la réquisition citoyenne de chaises pendant l’Université d’été 2015 d’Attac du 25 au 28 août 2015 à Marseille

    Comment mener des actions de réquisition de chaises de manière collective, non-violente, efficace et médiatique ?

    Plusieurs actions de réquisition de chaises ont été menées ces derniers mois dans des agences BNP et HSBC pour dénoncer leur rôle dans l’industrie de l’évasion fiscale. Alors que la COP21 se tiendra en décembre à Paris et qu’il semble si difficile de trouver l’argent nécessaire pour éviter l’emballement climatique, les actions de réquisition de chaises dans les banques impliquées dans l’évasion fiscale nous permettent de populariser un message très clair : l’argent de la transition écologique et sociale existe, il est dans les paradis fiscaux !

    Cet atelier abordera la méthode de préparation et d’organisation des actions, l’attitude non-violente, les aspects légaux et juridiques, et la stratégie de campagne.

    Toutes et tous faucheurs de chaises !

    Inscription obligatoire sur le site de l’UE (30 places à chacune des 4 sessions).

    4 sessions au choix :

    • Mercredi 26 août de 9h30 à 12h30 ;
    • Mercredi 26 août de 14h à 17h ;
    • Jeudi 26 août de 9h30 à 12h30 ;
    • Vendredi 28 août de 9h30 à 12h30.

    Lieu
    Local d’Attac Marseille - 29, boulevard Longchamp (rez de chaussée) - 13001 Marseille

    Inscription :
    https://universite.attac.org/2015/programme/article/formation-a-la-requisition-citoyenne-de-chaises

  • A la Fête de l’Huma 2015 Toutes et Tous #FaucheursDeChaises

    Lors de la Fête de l’Huma 2015, temps fort d’échanges sur les thématiques et les mobilisations concrètes à venir (l’arrivée du Tour Alternatiba à Paris et la préparation de la mobilisation autour de la COP 21, les marches européennes contre l’austérité, le fauchage de chaises, etc.), plus de 250 personnes ont joué le jeu et se sont faites prendre en photo dans un paradis fiscal sur l’une des chaise réquisitionnée à la BNP Paribas, pour montrer leur soutien aux faucheurs de chaises et dénoncer l’évasion fiscale pratiquée par la banque.

    Ces photos viennent compléter la collection des #FaucheursDeChaises et serviront à une prochaine action publique ...

    Merci à Oscar, Arthur, Benoit, Sylvain, Erwan et à Mélanie pour ces photos, ainsi qu’à chacun des citoyens engagés.

    L’argent de la transition écologique et sociale existe, il est dans les paradis fiscaux. Allons le chercher !

  • À l’arrivée du tour Alternatiba à Paris, toutes et tous #FaucheursDeChaises

    Lors de l’arrivée du tour Alternatiba à Paris les 26 et 27 septembre 2015, temps fort de convergence de solutions concrètes face au changement climatique, plus de 300 personnes ont joué le jeu et se sont faites prendre en photo dans un paradis fiscal sur l’une des chaise réquisitionnée à la BNP Paribas, pour montrer leur soutien aux faucheurs de chaises et dénoncer l’évasion fiscale pratiquée par la banque.

    Ces photos viennent compléter la collection des #FaucheursDeChaises et serviront à une prochaine action publique ...

    L’argent de la transition écologique et sociale existe, il est dans les paradis fiscaux. Allons le chercher !

    Merci à Charlotte, Manu, Benoit, et à Alexi pour ces photos, ainsi qu’à chacun·e des citoyen·ne·s engagé·e·s.

  • Grand rassemblement citoyen contre le pétrole et le gaz de schiste et de couche (Barjac, 28 février)

    Les Collectifs contre l’exploration et l’exploitation des gaz et pétrole de schiste et de couche se mobilisent et exigent que, et ce en parfaite adéquation avec les décisions prises lors de la Conférence Climat et encore récemment par la ministre de l’écologie que :

    • le permis de Montélimar et les permis limitrophes (Bassin d’Alès, Plaine d’Alès, Navacelles) ainsi que la trentaine d’autres permis arrivés à échéance en France ne soient pas renouvelés.
    • les 133 demandes de permis en cours d’instruction sur le territoire français soient rejetées
    • le gouvernement légifère pour interdire définitivement toute exploration et toute exploitation des hydrocarbures non conventionnels

    Nous appelons à cette mobilisation citoyenne pour répondre faire suite au délibéré du Tribunal Administratif de Cergy Pontoise rendu le 28 janvier 2016 qui vient d’annuler la décision d’abrogation du permis de Montélimar détenu par Total.

    La décision de l’Etat à faire appel de cette décision ne suffit pas. Seule une loi peut garantir contre les effets mortifères de cette industrie qui induit :

    • détérioration de la santé des habitants
    • dégradation irréversible de l’environnement et du foncier
    • prélèvements d’eau massifs et risques de pollutions majeures
    • bouleversement des l’équilibres sociaux et économiques locaux
    • aggravation du réchauffement climatique

    No Gazaran - Ni ici, ni ailleurs - Ni aujourd’hui, ni demain

  • Notre-Dame-des-Landes – samedi 27 février : Mobilisation générale

    La résistance à Notre-Dame-des-Landes est aujourd’hui devenue emblématique de tant d’autres luttes contre les destructions environnementales et sociales, de tant de combats face à la disparition des terres agricoles ou aux causes du changement climatique. Elle marque un refus ferme de la marchandisation continue du territoire et de nos vies. Ce qui se construit sur la ZAD est porteur d’un immense espoir parce que s’y inventent d’autres manières d’habiter le monde, de cultiver, de créer et de s’organiser en commun. Les 30 et 31 janvier, c’est un millier de personnes qui sont venues participer à plus de 30 chantiers simultanés pour renforcer ce que Vinci voudrait détruire. En ces temps d’état d’urgence en passe de devenir perpétuel et d’atteinte prolongée aux libertés publiques, la détermination qui anime le bocage est un encouragement contagieux à ne pas se résigner.

    Mais le 25 janvier, le juge des expropriations a prononcé l’expulsion des paysan-ne-s et habitant-e-s légaux de la ZAD : immédiate pour les exploitations agricoles, sous deux mois pour les habitations. Les quelques 200 nouvelles personnes qui, depuis 2007, se sont installées sur la ZAD pour y vivre et la protéger, sont, elles aussi, susceptibles d’être délogées par la force. La décision de passer à l’acte est aujourd’hui entre les mains du gouvernement.

    Hollande s’était engagé à attendre la fin des recours juridiques contre le projet d’aéroport. Ceux-ci ne sont pas épuisés : les recours contre les arrêtés loi sur l’Eau et Espèces Protégées sont en appel, une procédure de pré-contentieux est encore pendante devant la Commission Européenne. Pourtant, Valls, de son côté, martèle toujours sa volonté d’expulser la ZAD et de démarrer les chantiers à court terme, confortant les porteurs du projet. De premiers travaux de défrichage sont censés commencer avant la mi-mars.

    Si la pression sur l’ensemble de la zone est aujourd’hui plus forte que jamais, il n’est pas question de partir et de laisser la place aux tractopelles de Vinci, ni de vivre continuellement avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Il n’est pas non plus question de diminuer notre propre pression sur les porteurs du projet et le gouvernement.

    Au contraire, c’est maintenant qu’il faut enfin gagner l’abandon du projet d’aéroport par notre mobilisation ! Dans le bras de fer qui s’est engagé, la puissance du mouvement dans la France entière pendant les semaines à venir va être décisive. Toutes les composantes de la lutte appellent donc à multiplier les actions de solidarité, en préambule d’une journée de mobilisation massive et générale le 27 février. Cette journée aura pour mot d’ordre l’arrêt des menaces d’expulsion sur les paysan-ne-s et habitant-e-s de la ZAD, ainsi que l’abandon définitif du projet d’aéroport. Nous invitons tous les comités et soutiens à relayer très fortement l’appel pour cet événement et à organiser des bus et convois pour s’y rendre.

    Nous nous rassemblerons le 27 février en fin de matinée, précisément là où les travaux sont censés commencer, pour y faire la démonstration concrète de notre capacité à les bloquer. Nous convergerons ensuite vers une grande fête pour l’avenir de la ZAD. Les différentes heures exactes de rendez-vous et points de départ des cortèges seront précisés par la suite.

    Celles et ceux qui habitent et cultivent la ZAD ne la quitteront pas !
    Il n’y aura jamais d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes !

    Si vous souhaitez venir en bus depuis Paris, retrouvez les informations pratiques sur l’événement Facebook.

  • Parole de mobilisation à Notre-Dame-des-Landes

    Geneviève Coiffard-Grosdoy, millitante Attac.

    Et beaucoup d’autres citoyen.ne.s engagé.e.s

  • « Paradis fiscaux, enfer climatique » : Les faucheurs de chaises bientôt de retour !

    Après une quarantaine d’actions dans toute la France et autant de plaintes déposées par les banques, et même si des menaces planent notamment à Marseille, la justice n’a encore initié aucune poursuite contre les faucheurs. C’est un signe fort de la légitimité de ces actions bien évidemment illégales et revendiquées comme telles : un procès des faucheurs se transformerait inévitablement en procès des banques.

    S’il a marqué des points, le mouvement des faucheurs de chaise n’a pas encore obtenu de victoire : ainsi les grands patrons de BNP Paribas nous ont reçus pour nous dire que leur banque n’avait rien à se reprocher, même pas aux Îles Caïmans, un innocent « paradis réglementaire » selon leurs dires. Nous avons donc décidé de continuer en élevant le rapport des forces.

    Avant la COP 21 les fauchages visaient le scandale de ces États incapables de financer le Fonds vert pour le climat alors qu’ils laissent les banques organiser une évasion massive de capitaux dans les paradis fiscaux. De fait l’accord de Paris n’a pas répondu à la question de savoir d’où viendrait l’argent additionnel nécessaire pour aider les pays pauvres à financer leurs projets de lutte contre et d’adaptation au changement climatique.

    Attac et ses partenaires (Amis de la Terre et ANV) sont en train de préparer pour ce printemps​ la ​poursuite des fauchages de chaises en réaffirmant la même thématique (« l’argent de la transition écologique et sociale existe, il est dans les paradis fiscaux », « Paradis fiscaux, Enfer climatique »), déclinée cette fois autour de deux types d’exigences :

    immédiatement : fermeture des filiales dans les paradis fiscaux, interdiction des sociétés écrans, embauche de 10 000 agents de contrôle fiscal, pénalisation des organisateurs de l’évasion,
    juste après : avec l’argent récupéré, création d’1 million d’emplois pour le climat. Nous crédibiliserons cette exigence avec un chiffrage précis dans différents domaines : soutien aux renouvelables, rénovation thermique de 500 000 logements par an, reconversions de l’agro-industrie vers l’agriculture paysanne, création directe de centaines de milliers d’emplois publics et/ou associatifs d’utilité publique pour la transition.
    En même temps nous comptons inviter les citoyens à diversifier les formes d’action dans et autour des banques, par exemple en y installant (symboliquement et temporairement !) des classes d’école, des cours d’éducation populaire, des théâtres, des bourses du travail solidaire, des pépinières de coopératives d’énergies renouvelables...

    Pour Attac, cette campagne est aussi un outil pour populariser l’idée que « les banques sont à nous ». Le système bancaire remplit (très mal aujourd’hui) une fonction de service public. S’il faut le sauver à nouveau lors de la prochaine crise financière, nous devrons imposer la socialisation des banques, pour qu’elles cessent de spéculer et frauder, et financent seulement des projets socialement et écologiquement utiles.

    Pour aller plus loin :

    Pour aller plus loin :

  • 4 avril : journée d’action « Pas d’œufs Matines pour Pâques ! » contre le requin Sofiprotéol-Avril

    Pourquoi ?

    Sofiprotéol-Avril est un géant français, méconnu, de l’agro-industrie : 7,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, 8 300 salarié-e-s et 77 sites de production en France. Ses activités agro-industrielles sont regroupées au sein du nouveau groupe Avril. Sa filiale, Sofiprotéol, est un fond d’investissement qui détient une centaine de participations dans les semences génétiquement modifiées, la production d’agrocarburants à partir de graisses animales ou encore la fabrication de nuggets pour 3 000 Mac Donalds en Europe.

    Via ses filiales Sanders et Kerloann, Sofiprotéol-Avril est engagé avec d’autres partenaires dans un projet de maternité porcine à Poiroux, dans l’arrière-littoral des Sables-d’Olonne. Ce projet est financé par le Crédit Mutuel Arkéa dont le président, Jean-Pierre Denis, vient juste de rentrer au Conseil d’Administration du groupe Avril !

    La maternité porcine de Poiroux est un clone d’un autre projet, contesté depuis 2010, « l’usine des 1 000 truies » à Trébrivan dans les Côtes-d’Armor : 890 truies et 23 000 porcelets par an pour chacune des deux maternités, seulement 3 salariés à Trébrivan, contre 4 prévus à Poiroux, avec des techniques de production industrielles avancées qui n’ont plus grand chose à voir avec l’agriculture. Ces deux « fermes-usines » figurent la carte de l’industrialisation de l’agriculture dévoilée à la veille du salon de l’agriculture 2015 par la Confédération paysanne1.

    La petite histoire de Poiroux

    Le premier projet d’usine de Poiroux date de 2009. Vu les nuisances et de l’émoi des populations, tous les élus, dont le Président du Conseil Général de Vendée, Philippe de Villiers, des experts et les habitants de l’arrière-littoral s’étaient mobilisés contre le projet. Logiquement, le Préfet de l’époque, Jean-Jacques Brot, avait signé un arrêté de refus d’autorisation d’exploiter le 16 juin 2010.

    Mais le 17 mai 2013, les porteurs du projet obtenaient l’annulation de l’arrêté de 2010 devant le tribunal administratif de Nantes. Le Préfet Bernard Schmeltz, en partance pour un poste dans l’Essonne, n’a pas fait appel de la décision. Pire, cette décision n’a fait l’objet d’aucune publicité pendant plusieurs mois mettant les opposants devant le fait accompli. Le CODERST (Conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologique) a également été informé tardivement et a voté contre au cours d’une séance houleuse. A peine arrivé, le nouveau Préfet Jean-Benoît Albertini, bien aidé par les services de la préfecture, fut contraint de signer le 18 novembre 2013 un nouvel arrêté d’autorisation du projet.

    Aujourd’hui, associations et riverains se mobilisent à nouveau et ont créé le collectif « Non à l’usine à cochons de Poiroux ». Ses membres ont déposé un recours en référé réclamant l’annulation du permis de construire. Le référé a été rejeté par le tribunal administratif de Nantes. Ils ont également attaqué l’arrêté d’autorisation du projet du 18 novembre 2013. La procédure est en cours et peut durer jusqu’à 3 ans !

    Il est urgent d’agir !

    Hélas, les travaux de terrassement ont débuté le 4 mars dernier sur le site. Pour obtenir la suspension de ces travaux dans l’attente de la décision du tribunal administratif, le collectif « Non à l’usines à cochons de Poiroux » appelle à une manifestation le 4 avril prochain aux Sables d’Olonne.

    Se mobiliser le 4 avril

    Nous appelons les habitant.e.s de l’ouest de la France à rejoindre la manifestation en organisant, si possible, des déplacements collectifs (co-voiturage, bus...).

    Pour soutenir la manifestation, nous appelons également à des actions décentralisées contre les marques Matines, Lesieur et Puget du géant Sofiprotéol-Avril.

    Pour agir, vous pouvez commander gratuitement des autocollants en ligne

    La Confédération Paysanne appelle également à cette journée d’action. Vous pouvez également contacter la délégation la plus proche de chez vous :
    http://confederationpaysanne.fr/mobilisations.php?id=3436

    Idées pour vos actions du 4 avril

    Actions simples

    • Coller des autocollants appelant au boycott sur les produits concernés, les caddies de supermarché ou en tête des linéaires des produits Lesieur, Matines et Puget ;
    • Distribuer une carte à glisser dans le porte-monnaie qui récapitule les différentes marques Sofiprotéol-Avril à ne pas acheter : Lesieur, Matines et Puget

    Actions plus élaborées

    • Créer un chamboule-tout avec les différentes marques Sofiprotéol-Avril et des balles en forme de tête de cochons ;
    • Organiser une course poursuite dans les rayons avec des gens déguisés en poules ou en bouteilles d’huiles poursuivis par des personnes déguisées en cochon ;
    • Sur les linéaires des supermarchés, remplacer les produits Sofiprotéol-Avril par des produits à base de porc (ex. : boites de terrine ou de pâté) ;
    • Distribuer des questionnaires pour faire connaître les projets d’usines de 23 000 porcelets ;
    • Organiser des ateliers de fabrication de mayonnaise maison plutôt que d’acheter celles de lessieur ;
    • Proposer de remplacer des produits Lesieur, Matines et Puget par des produits bio équivalant en expliquant pourquoi.
      N’hésitez-pas à nous envoyer vos idées d’actions.
  • 7 mars : 1e journée d’action nationale

    Chambéry

    Rendez samedi 7 mars de 9 h à 12 h.
    Nous serons devant la BNP Place de l’hôtel de ville à Chambéry dans une "zone d’évasion fiscale".

    Epinal

    Rendez-vous samedi 7 mars à 10h
    Place des Vosges,devant l’agence BNP
    avec musique, panneaux, kits, tracts...

    Guéret

    Rendez-vous samedi 7 mars à 10h Place Bonnyaud, sous les arcades, à Guéret
    Rejoignez-nous pour une action ludique contre l’évasion et la fraude fiscale

    Grenoble

    Rendez-vous samedi 7 mars 2015 à 14h30 pour une action ludique place Victor Hugo à Grenoble

    La Seyne sur Mer

    Rendez-vous à 10h20 Place Laïk, bas du marché.

    Mâcon

    Rendez-vous le 7 mars devant l’agence de la BNP
    24 Rue Philibert Laguiche, 71000 Mâcon

    Marseille

    Les Requins 2015 mettent la Tête dans le Sac

    Samedi 7 mars de 11h00 à 12h00
    59, rue Saint-Ferréol - Marseille 1er arrondissement
    Dans le cadre de la campagne Requins 2015, Attac Marseille organise une opération « Tête dans le Sac » à destination des clients de BNP Paribas.
    Avec accessoires, casseroles, sifflets, déguisements et on va les fermer ces paradis fiscaux !

    Moulins

    Rendez-vous de 15h à 16h30 place d’Allier.

    Paris

    Action BNP "Zone d’évasion fiscale"

    ​Rendez à 15h devant l’agence centrale
    16, Boulevard des Italiens 75009 Paris
    Métro : Richelieu - Drouot (lignes 8 et 9)

    St Gaudens

    Rendez-vous place Jean Jaurès pour informer sur les 3 requins et faire un petit tour du côté de BNP Paribas en espérant avoir autant de succès que l’an passé (fermeture de l’agence !).
    Distribution de tracts, de Kits et panneaux d’information.

    Sète

    Rendez-vous à 15H Place Aristide BRIAND
    Au programme :
    - inauguration de la Nouvelle Tour des Requins 2015
    - Ouverture spéciale du guichet ambulant de la BNP "la banque qui triche"
    - Quizz sur le paradis fiscaux et la fraude fiscale
    - Distribution du Kit anti-requins 2015 pour une participation citoyenne à la campagne

    Tarare

    Rendez-vous samedi 7 mars à 20h pour une soirée citoyenne autour de la projection du film "Le prix à payer"
    Cinéma Jacques Perrin
    19, rue du Bataillon-Berthier - 69170 Tarare

  • 29-30-31 mai : participez aux actions « Total s’engage contre le climat »

    Total fait parti de nos trois requins 2015 pour son implication dans les projets de Gaz de Schiste en Algérie. Fin janvier 2015, nous avons obtenu une première victoire symbolique puisque Total a annoncé s’être retiré du permis d’exploration d’Ahnet. Désormais, nous exigeons de Total l’engagement à ne pas s’impliquer dans les projets de gaz de Schiste en Algérie.

    Pour mettre la pression sur Total en montrant son vrai visage, nous lançons avec les Amis de la Terre une nouvelle opération d’ampleur les 29, 30 et 31 prochain.

    Le 29 mai nous nous mobiliserons à l’occasion de l’assemblée générale des actionnaires de Total au Palais des congrès de la porte Maillot à Paris. Nous mènerons des actions à l’entrée de l’assemblée générale et remettrons aux actionnaires un contre-rapport d’activité qui sera publié par l’observatoire des multinationales et les Amis de la Terre avec le soutien d’Attac.

    Les 30 et 31 mai, nous invitons à mener des actions contre Total partout en France dans le cadre des « 1 000 initiatives pour le climat » organisées par la coalition Climat 21.

    Pour agir, c’est très simple il vous suffit de commander gratuitement un kit d’autocollants A6 « Total s’engage » (dont nous dévoilons le premier des 4 modèles ci-dessous) et de les coller sur la ou les pompes à essence Total les plus proches de chez vous.

    Recommandations pour vos actions :

    • Agissez lorsque les stations sont fermées (en soirée ou le dimanche) ;
    • Si possible soyez au minimum 2 personnes : une qui colle et une qui guette ;
    • Collez les autocollants sur des parties visibles des pompes sans entraver leur fonctionnement : les clients doivent les voir en faisant leur plein.
    total canada
    total algerie
    total nigeria

    Crédit photo : © Jiri Rezac / WWF